A Bayeux, pays de la tapisserie, Alice,
20 ans, travaille
la laine, invente des vêtements… Agnès,
une riche Parisienne l’aide
à intégrer une prestigieuse école d’arts appliqués. Dans la capitale, Alice (Ana Girardot au charme préraphaélite) rencontre Antoine, le fils d’Agnès. Elle en tombe amoureuse. Antoine lui fait découvrir le « beau monde » tandis qu’Alice s’interroge sur les conventions de la société.
Avec « Le beau monde », Julie Lopes Curval,
un peu dans la veine de « La dentellière » de Goretta, filme deux personnages qui se cognent à la rudesse de la société. Où comment Alice et Antoine se construisent en se prenant des choses l’un l’autre. Une oeuvre tendre et grave…
(Pyramide)